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  • Ou encore des calicots de propagande électorale. La plupart de ces baraques prennent l'eau quand il pleut, car le sol est argileux et très boueux.


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  • Ils essayent de rendre leur endroit joli en mettant une décoration de pierres blanches et de plantes, autour d'une "cour" soigneusement de terre balayée. Mais ils sont 8, garçons et filles, dans une baraque de 12m2 faite de plastique et de bois.


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  • Poussées par la nécessité (ce sont elles qui assument, elles qui se retrouvent seules avec les enfants à nourrir) les femmes trouvent l'énergie de se regrouper et de faire des projets très réalistes, partant de leurs besoins immédiats et de ce qu'elles savent faire : cultures potagères, élevage, cuisine, couture, broderie... Bien sûr elles n'ont pas un sou n'ont à investir dans des achats d'animaux, de machines etc. mais elles affrontent cela ensemble, sans rien attendre de personne.


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  • Au Paraguay, les plantes poussent facilement et rapidement, la nature est  généreuse,  la terre fertile et il y a beaucoup d'eau. Aussi il est possible de faire pousser une grande variété d'arbres fruitiers, de légumes : carottes, pommes de terre, salades, oignons, poireaux, haricots, petits pois, mais, courges, potiron, herbes ... Dans les asentamientos, il y a souvent beaucoup de terrain utilisable pour faire des jardins communautaires, parce que si les parcelles dont dispose chaque famille font entre 200 et 300 m2, elles ne sont pas toujours adaptées pour les cultures. Cette femme par exemple est sur un terrain complètement rocheux et fait quand même pousser quelques légumes


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