• Une ressource principale, les crabes pêchés dans les mangroves ( manguis). Dans les manguis, le sol (lama) est formé d´une accumulation séculaire de matières organiques, végétales et animales. Cela ressemble à une argile sombre, très fine. Les crabes vivent dans ce sol qui est en réalité très aéré. Les arbres, la végétation très dense, y poussent les pieds dans l´eau, les racines et les troncs sont découverts à marée basse.


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  • Les pêcheurs doivent de mettre à genoux, plonger le bras jusqu´à l´épaule dans la lama, recommencer un peu plus loin jusqu´à ce qu´íls rencontrent un crabe. Ils ne doivent pas pêcher les femelles, et ils les reconnaissent aisément au toucher, les mâles ayant des pinces couvertes de très gros poils. C´est un travail très pénible, et ils sont harcelés par les moustiques. Pour les éloigner ils font des feux, ou s´enduisent de kérosène.


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  • Aprés 20 minutes d´efforts, il est fier de montrer ses prises.


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  • Les crabes (carangueijos) se vendent attachés par cinq par une ficelle. Ces cordées grouillantes, empilées les unes sur les autres, se trouvent partout dans les marchés, dans la rue. Ils peuvent survivre cinq jours à ce traitement. Ici au marché de Parnaiba.


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  • Les crabes sont achetés très bon marché aux pecheurs, qui les aportent en barque á Porto Tatu. Dans ce minuscule port á l´intérieur du delta, 15 000 cordées sont vendues par semaine, á un peu plus d´un euro la cordée. Les "carangueijeiros", pêcheurs de crabes, sont au bas de l´échelle sociale des pêcheurs, catégorie déjà défavorisée.


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