• La viande. Dans les pays chauds, cest vraiment le point faible sur les marchés. Ici des lambeaux de viande puante pendent: lanières de viande salée, saucisses fumées, foie, poumons, tripes. Des pieds, des têtes de veau. Ca narrive pas à la cheville du marché de Bombay, mais ça ne donne pas envie de mager de la viande...

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  • Il y a beaucoup de volailles vivantes, des coqs qui chantent, inlassables, attachés par une patte. Et aussi des poussins, de tous petits lapins. Une chèvre passe, entravée, dans une brouette, secouée de violents bêlements de protestation

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  • Un peu à lécart, des allées avec des fruits en vrac, bananes, ananas, tamarins séchés dans des sacs. Sur la photo, cest du tamarin, grands gousses brunes, lintérieur est couleur goudron; on en fait du jus, excellent dans les sorbets.


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  • Beaucoup vendent du changô (si jai bien compris le nom). Ce sont de petits poissons séchés, je les avais pris pour de gros anchois. Ils sont embrochés en rangées et disposés en quinconce, en petits blocs carrés, le tout tenu par une ficelle de raphia. Le vendeur a ri de mon étonnement. Il était content que je le prenne en photo avec ses poissons.

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  • Une ruelle de poissons, un peu à lécart. Presque plus rien sur les étals. Dans un panier, des crabes grouillants, couverts dune boue noire. Une vieille femme engage la conversation, amicale, joyeuse. Dautres nous rejoignent. Quand je leur dis que mon fils est aussi vendeur de poisson, la discussion sanime. La France les intéresse. Ils veulent savoir ce que je pense de Salvador, minvitent à revenir. Ca se termine par une photo de groupe.

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