• Notre guide, le responsable du centre social, nous parle des dégâts sur les enfants. Beaucoup ont des troubles psychologiques graves, des cauchemars. Son fils de 13 ans a vu son meilleur copain tué par l'armée israélienne qui lors d'une incursion dans les rues du camp a tiré sur les enfants. Son fils ne voulait plus sortir de chez lui, et est resté fortement traumatisé. Les enfants, sur la photo, vont à l'école. La vie doit continuer.

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  • Sur les murs, de très nombreux hommages aux « martyrs » de l'intifada. Portraits au pochoirs, affiches, inscriptions. Nous entrons dans la “maison d'un martyr” (il y en a eu 33 lors de la deuxième intifada et 150 lors de la première). Il s'agit d'un des neveux de notre guide. Cet homme croit à la résistance par les idées, mais comme partout en Palestine, il ne condamne pas les auteurs des attentats suicide, il comprend ce qui peut entraîner un jeune à de tels actes. Il sait aussi qu'ils resteront en Palestine, quoi qu'il arrive.

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  • A la sortie du camp, près de l'école, un grand portrait peint sur un mur : c'est celui du poète Asan Kanagany, tué par le Mossad.

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