• Dans le centre social et culturel, des enfants répètent de la musique et de la danse. Le responsable du centre nous explique leur façon de résister: ce que nous voulons faire c'est mettre de la beauté, de la culture, dans la vie si dure de ces enfants. De les ouvrir sur le monde, car le camp est une prison. Lui même n'a pas pu aller à Jérusalem, à 10 km de là, depuis plus de 20 ans. Le centre a été financé par des fonds internationaux et par l'Italie. Il a été une première fois détruit. Ils l'ont rebâti et c'est un lieu de vie.

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  • Dans les rues du camp, c'est la précarité, la destruction, partout les traces des exactions de l'armée israélienne. Un empilement de bâtiments de béton, des problèmes d'alimentation en eau et en électricité, de mauvaises conditions sanitaires. Ce sont les gens du camp qui ont construit les quelques lignes électriques.

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  • Faute de place, une maison a été construite sur pilotis, par dessus une autre !

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  • Nous voyons une maison totalement détruite il y a peu par l'armée israélienne. 45 personnes y vivaient, dont la famille d'un auteur d'attentat suicide. Un manège d'enfants reste debout dans les ruines. Tous les voisins vont s'y mettre pour reconstruire très vite la maison. Ils se donnent un mois pour y arriver.

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  • Il y a plusieurs projets d'équipements publics en cours. Ici, un enfant qui nous accompagne pose devant la future clinique, presque terminée. Il n'y a pour l'instant qu'un seul médecin à Dehaisha.

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