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Ils nous proposent une grande case de palmes qui est celle de leur mère, absente. Nous suspendons nos hamacs aux madriers. C’est agréable et frais. Notre lampe : une boite de conserve pleine de kérosène, avec une mèche qui dépasse du bouchon. Dans la case, toute une variété de flacons de médicaments et d’herbes. Dehors, un ciel étoilé somptueux.
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Nous allons diner dans leur case. Il faut toujours apporter de la nourriture : viande, haricots, café, c’est ce que nous avons fait. Nous mangeons quelques bouchées, pour ne pas refuser, bien conscients que ce sera là leur seule nourriture. Ils sont accueillants, souriants et doux.
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Le lendemain, avant de partir, Antonio Carlos les interroge longuement sur toute leur parenté, reconstituant patiemment la toile qu’il tisse depuis des années pour recenser les indiens de la région. Ils s’y prêtent volontiers.
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