• Les berges, comme sur tous les fleuves amazoniens, ne sont pas visibles : plantes aquatiques, arbustes, grands arbres, un fouillis de végétation, de lianes, de racines, et quelque part, derrière, une frontière mouvante entre l’eau et la terre.


    votre commentaire
  •  

     

     


    votre commentaire
  •  

    Ce fleuve est d’une beauté somptueuse. On voit beaucoup d’oiseaux. Les plus courants sont les grands mergulhao, noirs et blancs qui volent et nagent. Il y a aussi des maguari, une variété de cigognes, et des garça branca, hérons blancs et fins, aux longues pattes et au vol pesant, et des multitudes d’oiseaux minuscules qui volent en bandes. Je n’ai pas réussi à les photographier, alors une photo pour vous montrer que j’aimais vraiment ce fleuve

     


    votre commentaire
  •  

    Petite étape au village d’Araras. Nous ne arrêtons qu’un moment, le temps pour Antonio Carlos de faire le point sur le recensement des familles qui y habitent, vérifier si leur identité indienne est reconnue, pour qu’elles puissent bénéficier de leurs droits. La réunion se tient dans l’école : un toit de branches de palmes sur des poteaux de bois. Des chaises à tablettes comme dans toutes les écoles. Il y a 37 élèves, riverains du fleuve, qui pour la plupart viennent jusque là dans la pirogue qui assure le ramassage scolaire.

     


    votre commentaire
  •  

    Ce ne sont pas des indiens Arara, malgré le nom du village. Mais surtout des Xipaya.

     


    votre commentaire